Claude Monet avait une toile pour chaque moment de la journée. Il passait de l'une à l'autre selon l'état de la lumière, de la météo, et c'est ainsi qu'il obtenait , au fil des jours, une impression réussie de chaque instant.
A ma modeste mesure je crois que ces temps- ci je travaille un peu comme ça. Non pas que je regarde le ciel pour peindre... la météo qui m'influence serait plutôt celle de ma tête: mes humeurs,mes envies, mon état, ma fatigue ou mon énergie. J'ai toujours ressenti comme une nécessité de finir une toile pour en commencer une autre. Alors là je teste : j'ai trois peintures "sur le gril"...Selon mon état d'esprit je me consacre à l'une ou à l'autre. Je sais ça fais un peu Harem...
Donc aujourd'hui je commence à transposer ces petits croquis sur une grande toile (1 X1 métre)...à suivre.
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